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Peut-on encore ignorer les milliards de dollars que représentent les invendus du luxe ?

SED NOVE est un des acteurs pionniers qui met en œuvre une solution durable alors que le monde du luxe s’achemine à petits pas vers un paradigme de changement.

Dans le monde en constante évolution de la mode et du  luxe où les tendances se substituent les unes aux autres au rythme effréné des Fashion Weeks, il existe un problème majeur qui affecte depuis longtemps les géants de l’industrie du luxe : les stocks invendus.

BoF (Business of Fashion) publiait cette semaine cette information. Année après année, un nombre stupéfiant de marchandises invendues se retrouvent dans les décharges et les incinérateurs. Pour préserver leur prestige, les principaux acteurs du luxe qui continuent d’introduire et de surproduire de nouvelles collections, se refusent fermement de les vendre en deçà d’un certain seuil de prix pour maintenir la perception d’exclusivité. Si l’on observe les chiffres, on s’interroge quant à l’impact de ces pratiques sur l’environnement. Ainsi LVMH a vu ses chiffres d’invendus passer de 2,7 milliards d’euros en 2022 à 3,2 milliards d’euros en 2023. Un autre cas notoire, Burberry qui avait défrayé la chronique en 2018 en brûlant pour près de 40 millions de dollars de marchandises en une seule année. Or, ce ne sont pas seulement les  invendus de produits finis qui posent problème. En réalité tous les éléments permettant l’élaboration d’un produit fini, à savoir les matières premières, les composants, les prototypes, les produits de démonstration et autres échantillons, sont un sujet à part entière qui passe souvent inaperçu aux yeux du grand public.

Article BoF par Sarah Kent, 4 mars 2024

Néanmoins, un changement de paradigme est en cours. Les marques de luxe indiquent vouloir s’engager sur la voie de la durabilité : une petite avancée vers un avenir plus respectueux de l’environnement. Et aussi minimes que soient ces initiatives, elles constituent de petites victoires pour un précurseur du développement durable comme SED NOVE Studio.

Chez SED NOVE Studio, nous nous attaquons au problème en réutilisant les stocks endormis de cuir pour les transformer en expérience selon les codes du luxe. Notre approche innovante valorise le cuir et les autres composants délaissés en élaborant des ateliers expérientiels mais aussi en créant des objets originaux à offrir. Notre Métier d’Art est riche d’un savoir-faire exceptionnel du travail du cuir visant à minimiser l’impact sur l’environnement.

À ce titre, SED NOVE a notamment eu l’opportunité de collaborer avec des marques et sociétés de luxe telles que Kering, Fendi (propriété de LVMH), John Lobb (groupe Hermès), Première Vision, entre autres, pour réemployer leurs stocks dormants afin de créer des objets stylés, désirables et éco-responsables.

Compte tenu des quantités de matières premières rejetées par le secteur du luxe, notre savoir-faire et nos techniques, ainsi que notre approche flexible, nous permettent d’envisager des collaborations à une échelle internationale quelles que soient la taille et la nature des entreprises concernées par cette problématique.

Collaboration SED NOVE x FENDI

L’industrie de la mode continue de se transformer en affichant une volonté de s’attaquer de front au défi de la surproduction, de faire le choix d’un approvisionnement éthique et de freiner la dégradation de l’environnement. Grâce à des solutions innovantes comme les nôtres, à notre transparence et notre engagement en faveur de pratiques responsables, nous contribuons concrètement à l’avenir de la Mode. Soutenus dans cette démarche par notre créativité et le savoir-faire de notre Métier d’art.


Do we have the luxury of ignoring Luxury’s billion-dollar leftovers problem?

SED NOVE pioneers sustainable solution as the luxury market inches towards a paradigm of change. 

In the ever-evolving world of luxury fashion, where trends come and go at least twice a year at the heels of fashion weeks, there is a major problem that has long plagued industry giants: UNSOLD INVENTORY. As BoF published this week, year after year a staggering number of unsold goods find their way to landfills and incinerators. To maintain their prestige, key industry players continue to introduce & overproduce new collections, not wanting to sell them off beyond a certain price point to maintain the perception of exclusivity. If we look at the numbers, the immediate thought of the environmental impact of these practices pops into our minds. LVMH saw an increase from €2.7 billion in 2022 to €3.2 billion in 2023; in another instance, Burberry burned nearly $40 million worth of goods in a single year. Not only are the finished unsold goods an issue, but the rejected raw materials and samples are a whole other topic – a fact that often goes unnoticed by the general public.

BoF article by Sarah Kent, 4 March 2024

However, a paradigm shift is underway as luxury brands embark on a journey towards sustainability, a small step toward a more environmentally friendly future. No matter how minimal these initiatives are, they are small wins for sustainability champions like ourselves.

 At SED NOVE Studio, we tackle the problem at hand by reusing leather dead stocks and transforming them into an experience. Our innovative approach utilises the partner brand’s dormant leather and components to plan experiential workshops and gifting objects. Our Métier d’Art craft dives hands-on into an innovative leather repurposing strategy intending to minimise environmental impact. Recently, SED NOVE has partnered with luxury brands & companies like Kering, LVMH-owned Fendi, John Lobb (Hermès Group), Première Vision etc. to repurpose their leather dead stocks and raw materials to make interesting fashionable & eco-responsible objects.

Given the quantities of luxury’s rejected raw materials, our know-how and technique, and our flexible approach enable us to scale our projects in all categories & quantities, across the globe. 

Collaboration SED NOVE x FENDI

The industry continues to transform by confronting the challenges of over-production, ethical sourcing, and environmental degradation head-on. Through innovative solutions like ours, transparency and a commitment to responsible practices in balance with creativity and craftsmanship, there is still hope for the future of luxury fashion.